Mes harceleurs sont encore dans le coup et le chef de l'Etat comme les ministres concernés ont promis que tous les auteurs seraient retrouvés, jugés et punis.
Je vous dis pas comme j'ai hâte de voir ça....
La bande Luraghi sera-t-elle encore exonérée de toute responsabilité dans ces faits et finalement félicitée et bien récompensée pour ces attaques de prisons et d'agents pénitentiaires ?
Lire ou relire :
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-depuis-dimanche-le.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-faits-nouveaux.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-un-suspect-dans.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-le-groupe-ddpf-ete.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/cest-qui-encore-lulu.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-toutes-les-pistes.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/a-brest-olivier-cuzon-se-lance-en.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-josette-brenterch.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-drole-de-retour-sur.html
Près de Toulouse. Les voitures incendiées appartenaient à un agent de la prison de Seysses : "on le redoutait"
Les voitures qui ont pris feu dans la nuit de vendredi 18 au samedi 19 avril 2025, au sud de Toulouse, appartenaient, tout ou partie, à un agent de prison. Des questions se posent.
Dans la nuit du vendredi 18 au samedi 19 avril 2025, trois voitures ont été retrouvées sous les flammes, dans la commune de Saint-Martory, à environ une heure de Toulouse. Les faits ont eu lieu entre minuit et une heure du matin, heure de l’intervention des pompiers de Haute-Garonne. Quelques heures après l’extinction du feu, on en sait un peu plus. Les véhicules se trouvaient au pied du domicile d’un agent pénitentiaire de Seysses. Simple coïncidence ou acte visé ?
Identités dévoilées sur TikTok : deux surveillants de la prison de Villefranche-sur-Saône portent plainte
En pleine vague d’attaques visant les établissements pénitentiaires en France, deux agents de la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône (Rhône) ont vu leurs données personnelles diffusées sur les réseaux sociaux.
Les tensions se déplacent du terrain vers le numérique. Deux surveillants pénitentiaires affectés à la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône ont porté plainte ce mardi15 avril après avoir découvert que leurs identités et leurs horaires de travail avaient été diffusés sur le réseau social TikTok.
L’information, confirmée par le parquet de Lyon ce vendredi 18 avril, avait été révélée par Le Monde. Les deux fonctionnaires pénitentiaires apparaissent ainsi directement exposés, dans un contexte national de forte insécurité autour des établissements carcéraux.
Pour rappel, depuis le 13 avril, plusieurs prisons françaises ont été la cible d’attaques coordonnées : véhicules incendiés sur les parkings, tentatives d’intrusion, tirs d’arme automatique comme à Toulon, où la porte de l’établissement avait été visée. Ces actes ont relancé les inquiétudes autour de la sécurité des agents, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des murs.
Une enquête pour "divulgation illégale volontaire de données à caractère personnel nuisibles" est en cours afin d'identifier le ou les auteurs de la publication.
Aucun suspect n’a été interpellé à ce stade.
Attaques de prisons en France : la maison d'arrêt de Lyon-Corbas ciblée, l'acte signé
Un véhicule a été incendié devant la maison de Lyon-Corbas (Rhône) et un tag "DDPF" a été découvert sur un mur du bâtiment dans la nuit de samedi à dimanche.
Dimanche de Pâques sous tension pour le personnel de la prison de Lyon-Corbas dans le Rhône.
Après plusieurs attaques en France de sites et de personnels, c’est la plus grande prison de la région lyonnaise qui a été ciblée dans la nuit de samedi à dimanche 20 avril 2025.
Un tag « défense des prisonniers français »
L’inscription « DDPF », pour « défense des prisonniers français », a été taguée dans la nuit de samedi à dimanche sur les murs de la prison, a appris actu Lyon, confirmant une information publiée par le syndicat Force Ouvrière Justice.
Une voiture a été incendiée à proximité de la maison d’arrêt mais pour l’instant, aucun lien officiel n’a été effectué entre cet incendie et le tag du mouvement « anti-prisons » retrouvé sur le bâtiment. Le véhicule n’appartient pas à un membre du personnel de la prison, selon une source proche.
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Nouvel « acte de violence et d’intimidation »
« Cette nuit, aux abords de la prison de Lyon-Corbas, un véhicule a été incendié. Sur les murs, un tag « DDPF » a été retrouvé, marquant une nouvelle provocation inacceptable. FO Justice dénonce fermement cet acte de violence et d’intimidation. La sécurité des agents doit être une priorité absolue », assure le syndicat dans sa communication.
Le procureur de la République antiterroriste a indiqué jeudi matin qu’il n’y avait « pas de piste qui soit privilégiée » dans l’enquête ouverte sur les attaques ayant visé des prisons en France lors d’au moins trois nuits consécutives.
Des identités d’agents de Villefranche-sur-Saône publiés
De la nuit à dimanche à lundi dernier, à celle de mardi à mercredi, plusieurs actions ont été recensées, principalement des incendies de véhicules, mais également des tirs à l’arme automatique contre la porte de la prison de Toulon (Var), qui n’ont pas fait de victime.
Au total, il y a aussi eu « 21 véhicules incendiés et une dizaine de véhicules dégradés », selon M. Christen, dont le parquet national antiterroriste (Pnat) a ouvert une enquête. Les faits se sont produits dans « huit départements », pour un tiers dans les Bouches-du-Rhône et un autre tiers en Île-de-France, a indiqué le magistrat.
Dans le Rhône, deux agents pénitentiaires travaillant à la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône (Rhône) ont déposé plainte « en début de semaine », selon le parquet de Villefranche après la publication sur TikTok de leur identité. « L’enquête est en cours », précise la procureure de la République Laetitia Francart.
Attaques de prisons : des agents pénitentiaires et des centres de détention pris pour cible cette nuit, annonce Darmanin
Sur X, le ministre de la Justice indique que des centres de détention et des agents pénitentiaires ont une nouvelle fois été ciblés dans la nuit de dimanche à lundi. Il n’y a pas eu de blessé.
Les prisons une nouvelle fois visées. Des centres pénitentiaires et des agents ont été pris pour cible dans la nuit du dimanche 20 au lundi 21 avril , annonce Gérald Darmanin sur X, une semaine après le début d’une vague d’attaques nocturnes contre les prisons françaises.
«Il n’y a pas eu de blessés mais ces faits constituent des intimidations contre la République au moment où nous remettons de l’autorité et de l’ordre dans nos prisons. C’est un moment difficile, mais indispensable pour l’État et ses agents», écrit le ministre de la Justice
Si Gérald Darmanin ne précise pas les faits recensés dans la nuit, le syndicat FO Justice écrit sur Facebook que «deux véhicules ont été incendiés sur le parking de la prison de Lyon-Corbas». Le logement d’un agent «a été la cible de tirs de mortier d’artifice et d’armes à feu», poursuit cette source, qui «condamne avec la plus grande fermeté ces actes ignobles et lâches».
«Nous exigeons des mesures immédiates de protection»
«Le garage a été tagué au nom de notre collègue. Par erreur, les agresseurs ont en réalité ciblé le domicile d’un voisin, croyant viser notre collègue», écrit le syndicat.
«Nous exigeons des mesures immédiates de protection pour les agents, une enquête rapide et exemplaire, ainsi qu’une réaction ferme de l’administration et de la justice», martèle FO Justice.
Jeudi 17 avril, Olivier Christen, procureur de la République antiterroriste, expliquait qu’il n’y avait «pas de piste qui soit privilégiée» dans l’enquête ouverte sur les attaques ayant visé plusieurs prisons du pays. «Tout est possible, aucune piste n’est fermée», affirmait-il, même s’il «n’y a pas d’élément au moment où nous parlons qui nous permettrait de penser ça».
Les faits se sont produits dans «huit départements», pour un tiers dans les Bouches-du-Rhône et un autre tiers en Île-de-France, a indiqué le magistrat. Le «terrorisme par intimidation (...) pourrait être la qualification retenue», a souligné le procureur: son «objectif est de faire pression sur la population ou sur les pouvoirs publics pour qu’ils fassent, ou ne fassent pas, quelque chose».
Les responsables «seront retrouvés, jugés et punis»
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau évoquait quant à lui la piste de «narco-racailles». «L’une des pistes les plus crédibles». Celles de l’extrême gauche et de l’ingérence étrangère ne sont pas fermées. «L’autorité judiciaire communiquera au bon moment».
Emmanuel Macron a également promis la fermeté de l’État. Les personnes qui «cherchent à intimider» les agents pénitentiaires et «s’attaquent avec une violence inadmissible» aux prisons seront «retrouvées, jugées et punies», a-t-il écrit sur X.
«Notre troisième force de sécurité intérieure accomplit une mission essentielle de défense de l’État de droit et de la paix publique, avec courage et dévouement», poursuivait Emmanuel Macron dans son post. Et de conclure: «Je réaffirme à tous nos agents du ministère de la Justice mon total soutien et celui de la Nation.»
Attaques de prisons : deux maisons visées par des tirs d'arme à feu et des jets de cocktail molotov en Isère
Dans la nuit de dimanche à lundi, plusieurs maisons ont été la cible de dégradations visant des agents de l'administration pénitentiaire à Villefontaine, en Isère. Des tirs par arme à feu et des jets de cocktail molotov ont été constatés sur les habitations.
La série d'attaques se poursuit autour des prisons françaises. Dans la nuit du dimanche 20 au lundi 21 avril, de nouveaux actes de vandalisme ont été constatés à Villefontaine, en Isère. Le ministre de la Justice Gérald Darmanin dénonce des "intimidations contre la République".
Plusieurs maisons ciblées "par erreur"
La commune iséroise de Villefontaine, située non loin de la prison de Saint-Quentin-Fallavier, a été la cible de dégradations. "Plusieurs tirs par arme à feu et jets de cocktail molotov" ont visé des "pavillons" d'un lotissement où "résident plusieurs agents pénitentiaires", indique le parquet national antiterroriste dans un communiqué. Des tags avec la mention "DDPF", pour "défense des prisonniers français", ont également été constatés par les enquêteurs sur place.
Dans un message publié sur les réseaux sociaux, le syndicat FO Justice affirme que "les agresseurs ont en réalité ciblé le domicile d'un voisin, croyant viser notre collègue". Une attaque "par erreur" qui aurait touché au total deux habitations du quartier de la Noyera de Villefontaine.
Le parquet national antiterroriste s'est saisi de ces faits sous les qualifications de "participation à une association de malfaiteurs terroriste", "tentative d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique" ainsi que "dégradation ou détérioration en bande organisée du bien d'autrui par un moyen dangereux".
"Mettre fin à ces désordres"
Les investigations ont été confiées à la sous-direction antiterroriste de la direction nationale de la police judiciaire, conjointement avec la direction générale de la Sécurité intérieure et la direction zonale de la police judiciaire-Sud.
Sur son compte X (ex-Twitter), le garde des Sceaux Gérald Damanin a réagi : "Il n'y a pas eu de blessés mais ces faits constituent des intimidations contre la République au moment où nous remettons de l'autorité et de l'ordre dans nos prisons". Le ministre de la Justice indique également "pouvoir compter sur la fermeté du ministère de l'Intérieur pour interpeller rapidement les auteurs et mettre fin à ces désordres". Il précise qu'il va prochainement contacter les agents ciblés.
D'autres dégradations ciblant l'administration pénitentiaire ont été recensées dans la nuit de dimanche à lundi. Deux véhicules ont été incendiés vers minuit sur le parking de la maison d'arrêt de Corbas, près de Lyon, ainsi qu'un autre près de la prison de Villefranche-sur-Saône.
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